Aristote plaçait à part les marins
Des vivants et autres morts empêchés
De scruter l’horizon sous un ciel étoilé
Et d’être face au vent pour sentir les embruns
Arriver dans un port en escale
Au petit matin d’une nuit agitée.
Découvrir des visages étrangers
Et attendre le coup de foudre fatal.
Du pilote aux Penduick,
A ce petit port de pêche aux eaux claires.
Voici une fête des mers.
Pour la fête des pairs, ce sera mythique.
Salut Olivier, je suis inscrite depuis peu au cours de Thomas Hammoudi et je suis tombée sur un mail de Thomas renvoyant à ton site, j’aime beaucoup la seconde et quatrième photo qui me rappelle les couleurs de certaines photographies de Ernst Haas dont j’apprécies le travail. Le texte qui l’accompagne me parle.
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Merci Alexa ! Ça fait plaisir d’avoir quelques retour sur son travail. Tu évoques un mail de Thomas me citant? Je l’ai zappé. Tu ne parlerais pas de mon projet de zine pour lequel j’ai fait un post sur son site?
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