Souviens toi toujours que…
De la pénombre surgit la lumière,
Et peu importe les obscures mégères.
Lumière de la nuit ou lueur de lune,
N’en déplaise à ceux qui ont des lacunes.
Éclats des étoiles, bonnes ou filantes.
N’écoute pas les ignares à la bêtise confondante.
La voie lactée te guidera dans l’obscurité
Et les nébuleuses turlupinées seront ainsi écartées.
Nous t’apprendrons à les trouver, les éviter,
Faisant fi des billevesées.
A te forger tes propres opinions
Et à lutter contre les histrions.
Tu mèneras tes propres combats
En évitant parfois les pisse-froids.
Ceux que tu auras à affronter en ton temps.
Tu oublieras les bouffons et leurs boniments.
Nous te donnerons les clés pour lutter
Et taire les margoulins rassemblés.
Ne pas s’arrêter aux arrêts sur image
Sur qui les tartuffes feront bien des présages.
Ne pas tomber dans le cliché des différences,
Celles des olibrius en transe.
Que tu sois ou non sous les feux de la rampe,
Cernée de mirliflores et leur crampe,
Prends soin de toujours te souvenir
Que les hypocrites n’ont aucun avenir.
Au contraire des fées et anges gardiens
Que nous sommes nous tes parents magiciens.
Olivier Fardel 
Quel magnifique poème auréolé d’une très pointe d’optimisme!
la surprise n’a d’admiration que lorsqu’elle est entière.
Alors, je la salue.
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