C’était en mai 2013 sur l’île de la Dominique dans une distillerie dés plus artisanale. Une armature de lit et ce garçon dans cette nature sauvage.
La photo fut publiée en 2016 dans le n°9 du magazine « Digital Photo ».
Que de beaux souvenirs!
J’en profite pour vous conseiller de découvrir le photographe brésilien Sébastiao Salgado. Loin de moi l’idée que ma photo pourrait s’en revendiquer mais profitons de l’occasion.
Salgado, que j’ai découvert à la Maison Européenne de la Photo à Paris en 2014 pour l’exposition « Génésis » (éditions Taschen) puis au salon de la photo en 2017 grâce à « Autre Amériques ».
Ce photographe humaniste a présenté trois grandes sagas étalées sur 24 ans de préparation : « La main de l’homme » exposant les derniers métiers manuels subsistant dans 26 pays, « Exodes » rassemblant 36 reportages sur la question des réfugiés et enfin « Génésis » sur l’état des espaces naturels encore vierges de toute modernité. En 2015, sort le livre Terres de café (Ed. La Martinière), le résultat d’une décennie de reportages sur le monde des plantations de café, spécifiquement au Brésil, en Chine, Colombie, Éthiopie, Guatemala, Inde et Tanzanie.
Depuis le 8 décembre et jusqu’au 30 juin 2019, le Musée de l’Homme de Paris lui consacre l’exposition « Déclarations » pour commémorer le 70éme anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme.
Très belle journée!
Bravo Olivier !!! Quelle sensibilité, quelle émotion dans ce cliché.
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Merci Stéphane ! Belle journée à toi
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Drôle d’impression en découvrant cette photo en 2020.. A l’heure où les papiers peints motif « jungle » fleurissent dans les foyers occidentaux. On pourrait croire au premier coup d’œil intercepter la bref réaction de stupeur d’un enfant pris sur le fait de son insoumission au sommeil.
Quand le tableau sauvage renvoit au paysage artificiel. Effet garanti 😉
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