Jolie chanson que « Le chant des sirènes » de Frero Delavega…
« Au gré des saisons, des photomatons
Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons, des décisions, je m’abandonne
Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire »
Cette chanson me donna l’idée d’une rétrospective de 2018 pour laquelle je voulais isoler uniquement six photos, les six reines de l’année.
Six inédites ou déjà diffusées de manière très limitées.
Six des près de 4900 de l’année dernière.
Six, sans aucun doute nullement les plus jolies ou mieux réussies.
Évincer les privées, les amitiés, les futures exploitées et autres ratées fut aisé.
J’ai réussi par amusement numérique et visuel à en retenir une série de six.
Trouverez-vous ce qui en fait une série?
La première, facile à reconnaitre, étale ce sourire à porter sur la vie, sourire s’éloignant pour aller de l’avant.
La deuxième, urbaine et géométrique, résume assez ma tendance de l’année avec, en final, ces silhouettes surprenantes.
La troisième expose ce photographe et ces jeunes mariés courant de-ci de-là comme nous traversâmes ces beaux instants.
La quatrième, d’angle et d’ouverture, de distance et de contraste, place au centre la proximité humaine, en ces temps si nécessaire et urgente.
La cinquième et ce regard, insistant et centré parmi ces autres dos tournés, m’incitent à m’essayer au portrait maintenant.
La sixième, comme la première, nous dit d’aller tous ensemble de l’avant dans cette nouvelle année résiliente.
Je vous souhaite une belle année et, n’oubliez pas : profitez de la vie!
Les lignes pour point commun ? C’est ça ?
Bravo !
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J’ai défini la série de 6 avec un nombre de personnes sur chaque photo correspondant à son nombre et au texte associé. Comme quoi les interprétations diffèrent 🙂
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