Rideau ! On ferme
Rue d’année confinée. Rues damnées, grillagées. Mais rude année à oublier.
Rue d’année confinée. Rues damnées, grillagées. Mais rude année à oublier.
Avec un peu de poésie et de tendresse, des ombres et des regards, ce nouvel épisode d’une douzaine de personnages en compte finalement un treizième parce qu’en cette période de fêtes, particulière à plus d’un titre, il est important de ne pas rester seul.
Quand soudain surgit de la paréidolie…
Dirait Confucius au cirque du soleil,
Dit le condamné amorphe
En regardant James Bond dans Goldeneye, je me disais qu’il est Jamais Bon de péter un câble.
– Et voilà la piqûre de rappel, m’annonça-t-elle.
Tant qu’à battre le fer quand il est chaud, évitons donc d’avoir du plomb dans l’aile, gardons le pour nos cervelles.
C’est l’alignement des étoiles !
Quand tu réunis couleurs, espaces, rayures, présences, incongruité, heureux hasard, inattendu. C’est la recette qui te plait. Celle où tu mets les petits plats dans les grands. Le savant dosage. La pincée d’épice qu’il fallait, le soupçon de sel qui relève le tout. Comme un beau plat gastronomique!
Le titre « Combat de coqs » aurait pu être d’actualité tant les égos sont forts en cette période particulière de crise, de contestation, de frustration, de jalousie, d’abus et de manques. Après les prises de bec, les uns volent dans les plumes, les autres seraient des poules mouillées. N’attendons pas que les poules aient des dents pour retrouver calme et sérénité !
n se voyait déjà en haut de l’affiche.
En dix fois plus gros que n’importe quoi notre suffisance s’étalait.
On se voyait déjà, oui, les plus fortiches
Oubliant vite que de la bourrique nous étions si près.